Des éco-anxiétés et des solastalgie

«La solastalgie ou éco-anxiété est une forme de souffrance et de détresse psychique ou existentielle causée par exemple par les changements environnementaux passés, actuels et attendus1, en particulier concernant le réchauffement climatique2 et la biodiversité.» (wikipedia)

«Le monde n’a pas besoin de militants fatigués.»

«Vivre sereinement dans un monde abimé»

«En immersion dans une école de clown»

Au Samovar

«Une école de clown c’est trouvé sa liberté c’est un peu l’inverse de ce qu’on fait dans une école on l’on amène des cadres.»

«Le clown c’est vraiment un être qui arrive à se décaler et s’amuser de ça donc s’amuser de ses conneries, de s’amuser de ses faiblesses, de s’amuser ses défauts. C’est un travail long et c’est jamais gagné.»

«[le clown] C’est quelqu’un qui est hors norme il est anormal ou extraordinaire»

«On bosse comme des dingues pour retrouver ce qu’on a quand on est enfant. Avec un enfant il n’y a pas de barrière sociale, après on apprend tous à se tenir, il y a des codes dans la société etc et le clown en fait il va enlever tout ça, il va revenir à quelque chose qui est vrai.»

«[le clown] C’est quelque chose qui part de soi de qui on est, ses émotions, de nos convictions profondes, nos obsessions profondes et de comment on arrive à les mettre à nu devant un public c’est profondément intime et profondément universel.»

Continuer la lecture de « «En immersion dans une école de clown» »

💚💚💚 « Eco-anxiété [solastalgie] : agir pour la transition sans dépression »

Vidéo (1h) d’une discussion sur « Eco-anxiété : agir pour la transition sans dépression » publiée en 2020

Les invitées

Laure Noualhat : Journaliste environnement à Libération et auteure du livre « Comment rester écolo sans finir dépressif » publié aux éditions Tana

Justine Davasse : Fondatrice du blog Mouvements Zéro qui traite de la transition écologique

Charline Schmerber : Praticienne en psychothérapie spécialisée dans l’«éco-anxiété»

Je ne l’ai déjà regardé que 4 5 fois.

L’éco-anxiété n’est pas une pathologie, mais le signe d’une conscience éveillée. Cela touche à la sensibilité des individus face à la situation environnementale et climatique.

C’est faire face à ces quatre émotions : la colère, la peur, la tristesse, l’impuissance, et être toujours à la recherche frénétique de solutions.

Trouver des zones de calme, de repli, faites de cures d’informations, pour apaiser cette colère.

Que me soit donnée la force de changer ce que je peux changer ; le courage de supporter ce que je ne peux pas changer et la sagesse de faire la différence entre les deux.

Déjà je me demande si je suis prête pour scroller les réseaux sociaux et les vidéos youtube etc. Est-ce que je suis prête à recevoir l’information que l’on va me donner sachant qu’elle peut être potentiellement mauvaise. Si la réponse est ‘non’ je vais manger du chocolat, je prend une douche chaude et je dors.

Référence citées dans la vidéo

Marc-Aurèle : « Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre. »


Liens:
Adopte un·e collapso Rencontrons nous avant la fin du monde
Les pochtrons de l’apocalypse
Association Adrastia (« auquel on ne peut échapper »)
Café collapse (Grenoble) – Advienne que pourave
Joanna Macy – Le travail qui relie
Mouvement UP
Les mouvements Zéros
Charline Charline Schmerber – Solastalgie

Livres

La collapsologie heureuse
Comment rester écolo sans finir dépressif
Ecopsychologie : Retrouver notre lien avec la Terre


«SE CONNECTER À LA CAPACITÉ À RESSENTIR
IL EST PEUT-ÊTRE TEMPS DE REMETTRE UN PEU D’ÉMOTIONNEL DANS TOUT ÇA pour faire ces deuils qui semblent nécessaires » Heureusement les clowns sont là ?